LA VERITE EST LIBRE
Anno: 1998
Gruppo: BRIXIA
Testo e musica: Brixia |Menu
1 - Il y a du bleu au dessus de ma tête, je vois le ciel dedans, y'a des barreaux au bord de la fenêtre, comme un défi au temps
Toutes les voies de recours, sont épuisées déjà, les juges délibèrent en bas, de mon sort pour toujours
Ils voulaient que je reconnaisse mes torts, que je demande pardon, que je renie mes erreurs de jeunesse, en signant leurs dépositions
Je n'ai pas trouvé encore, en moi l'ombre d'un remords, j'ignore quel sera mon sort, que m'importe même la mort ?
R - Je ne crains pas les chaînes qui n'atteignent que mon corps, mon âme se promène s'évade au dehors
On emprisonne les hommes on les fait taire, la vérité est libre, l'amour est le plus fort
2 - Ils disaient il y a trente ans, il est interdit d'interdire, pauvres rebelles d'un instant, aujourd'hui ils font bien pire
Ils prétendent nous imposer ce qu'il nous faut penser, ils paient des gens pour nous épier, ce que tu dis est surveillé
Nous dénonçons l'imposture, d'un système qui s'est renié, pour camoufler leur pourriture, ils organisent la censure
Je suis ici depuis longtemps, je garde au fond de moi, une douce et sereine joie, ma joie nul me la prend !
3 - Je sais déjà que d'autres viennent, ils sont de plus en plus nombreux, dans ces murs qui me retiennent, je chante aussi pour eux
Ils arrivent par milliers, je ne les connais pas, penseront-ils à leurs aînés, tombés déjà au combat
La police de la pensée, veut endiguer l'explosion, on n'enchaîne pas la vérité, dans les murs d'une prison
Vous pouvez nous arrêter, nous jeter dans vos cachots, nous empêcher de parler, les pierres crieront s'il le faut
Toutes les voies de recours, sont épuisées déjà, les juges délibèrent en bas, de mon sort pour toujours
Ils voulaient que je reconnaisse mes torts, que je demande pardon, que je renie mes erreurs de jeunesse, en signant leurs dépositions
Je n'ai pas trouvé encore, en moi l'ombre d'un remords, j'ignore quel sera mon sort, que m'importe même la mort ?
R - Je ne crains pas les chaînes qui n'atteignent que mon corps, mon âme se promène s'évade au dehors
On emprisonne les hommes on les fait taire, la vérité est libre, l'amour est le plus fort
2 - Ils disaient il y a trente ans, il est interdit d'interdire, pauvres rebelles d'un instant, aujourd'hui ils font bien pire
Ils prétendent nous imposer ce qu'il nous faut penser, ils paient des gens pour nous épier, ce que tu dis est surveillé
Nous dénonçons l'imposture, d'un système qui s'est renié, pour camoufler leur pourriture, ils organisent la censure
Je suis ici depuis longtemps, je garde au fond de moi, une douce et sereine joie, ma joie nul me la prend !
3 - Je sais déjà que d'autres viennent, ils sont de plus en plus nombreux, dans ces murs qui me retiennent, je chante aussi pour eux
Ils arrivent par milliers, je ne les connais pas, penseront-ils à leurs aînés, tombés déjà au combat
La police de la pensée, veut endiguer l'explosion, on n'enchaîne pas la vérité, dans les murs d'une prison
Vous pouvez nous arrêter, nous jeter dans vos cachots, nous empêcher de parler, les pierres crieront s'il le faut