RESISTANCE GAELIQUE
Anno: 1995
Gruppo: VAE VICTIS
Testo e musica: Vae Victis |Menu
Vieille Europe, n'entends-tu pas l'appel de tes frères
Et le désarroi qui règne en pays d'Irlande,
Terre d'émeraude baignée de lacs et de rivières,
Où un vent de désespoir souffle sur la lande
Refusant bravement un avenir servile,
Un coin du continent survit dans la misère
La terreur et la mort qui planent sur cette île,
Ne font pas reculer les acteurs de la guerre
Dans les ruelles vides des faubourgs de Belfast,
Des gamins en haillons, les yeux remplis de haine,
Font face à des soldats dont les armes contrastent
Avec les cailloux des jeunes insoumis qui traînent
Auprès de l'épais granit d'une croix celtique
S'effondre un pauvre gars que la mort vient d'absoudre
Soulevant les quartiers populaires catholiques
La brise venue du large porte une odeur de poudre
Irlande libre !
Quand tu auras vaincu résistant gaélique,
Quand tes combattants ôteront leurs noires cagoules,
Puissions-nous enfin le jour de la Saint-Patrick,
Lever nos bières sans plus songer au sang qui coule
Lever nos bières sans plus songer au sang qui coule.
Et le désarroi qui règne en pays d'Irlande,
Terre d'émeraude baignée de lacs et de rivières,
Où un vent de désespoir souffle sur la lande
Refusant bravement un avenir servile,
Un coin du continent survit dans la misère
La terreur et la mort qui planent sur cette île,
Ne font pas reculer les acteurs de la guerre
Dans les ruelles vides des faubourgs de Belfast,
Des gamins en haillons, les yeux remplis de haine,
Font face à des soldats dont les armes contrastent
Avec les cailloux des jeunes insoumis qui traînent
Auprès de l'épais granit d'une croix celtique
S'effondre un pauvre gars que la mort vient d'absoudre
Soulevant les quartiers populaires catholiques
La brise venue du large porte une odeur de poudre
Irlande libre !
Quand tu auras vaincu résistant gaélique,
Quand tes combattants ôteront leurs noires cagoules,
Puissions-nous enfin le jour de la Saint-Patrick,
Lever nos bières sans plus songer au sang qui coule
Lever nos bières sans plus songer au sang qui coule.