80 JOURS 80 NUITS
Anno: 2000
Gruppo: FRACTION HEXAGONE
Testo e musica: Fraction |Menu
L'OTAN, jadis prévue pour la défensive
Passe ce soir à l'offensive
Dix de ses plus grands États, dix pays
Bombardent ensemble la terre de Serbie
Refusant bassement de l'absoudre
Ils ont couvert de leurs feux, de leurs foudres
Le Kosovo, sa province de toujours
Où son histoire, sa gloire ont vu le jour
Alors, ils sont venus lui expliquer
Ce que c'est être vraiment civilisé
En détruisant les usines et les ponts
En tuant les civils depuis leurs avions
80 jours, 80 nuits
De bombardements sur la terre de Serbie
80 jours, 80 nuits
Pour imposer l'ordre yankee
En réduisant leurs villes en cendres
Ils ont voulu leur faire comprendre
Que dans leur Yankeeland, leur nouveau monde
Seule compte désormais la Loi du nombre
Pour savoir à qui appartient la terre
D'où sont pourtant issus leurs pères
Qu'importent chevaliers et enchanteresses
Qu'importent les châteaux, les forteresses
Pour tous ces cow-boys, sans passé, sans gloire
Il faut la briser, la loi de l'Histoire
Et seule doit compter la voix des ventres
Pour un système où consommer est le centre
Passe ce soir à l'offensive
Dix de ses plus grands États, dix pays
Bombardent ensemble la terre de Serbie
Refusant bassement de l'absoudre
Ils ont couvert de leurs feux, de leurs foudres
Le Kosovo, sa province de toujours
Où son histoire, sa gloire ont vu le jour
Alors, ils sont venus lui expliquer
Ce que c'est être vraiment civilisé
En détruisant les usines et les ponts
En tuant les civils depuis leurs avions
80 jours, 80 nuits
De bombardements sur la terre de Serbie
80 jours, 80 nuits
Pour imposer l'ordre yankee
En réduisant leurs villes en cendres
Ils ont voulu leur faire comprendre
Que dans leur Yankeeland, leur nouveau monde
Seule compte désormais la Loi du nombre
Pour savoir à qui appartient la terre
D'où sont pourtant issus leurs pères
Qu'importent chevaliers et enchanteresses
Qu'importent les châteaux, les forteresses
Pour tous ces cow-boys, sans passé, sans gloire
Il faut la briser, la loi de l'Histoire
Et seule doit compter la voix des ventres
Pour un système où consommer est le centre