BUDAPEST
Anno:
Gruppo: JEAN PAX MEFRET
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Ils étaient plus de cent mille,
Marchaient dans les rues.
La neige tombait sur la ville,
Tu ne t'en souviens plus.
Ils venaient pour protester,
Ils criaient des slogans,
Des ouvriers, des étudiants.
Soudain, ils ont vu les chars
Qui stationnaient sur les boul'vards,
Ils ont vu les soldats armés.
Ils ont chanté la Marseillaise,
Un morceau d'histoire française,
Tout d'un coup les a fait rêver.
Héléna avait quinze ans,
Elle a pris un fusil.
Isvan n'avait que douze ans
Et il est mort aussi.
Si je chante cette chanson,
C'est pour qu'leur souv'nir reste :
Gloire aux enfants de Budapest.
Soudain, ils ont vu les chars
Qui avançaient sur les boul'vards,
Ils ont vu les soldats tirer.
Ils ont chanté la Marseillaise,
Un morceau d'histoire française,
Dans leur coeur cognait Liberté.
Ils étaient plus de cent mille,
Couraient dans les rues.
Le sang coulait sur la ville,
Tu ne t'en souviens plus.
Aux frontières de la Hongrie,
Ils n'ont pas réagi.
La suite c'est Prague et Varsovie.
Là-bas, il y a les chars
Qui stationnent près des boulevards,
Il y a les miliciens armés.
Dans les prisons polonaises,
On se tourne vers la terre française
En criant : Solidarité !
Si je chante cette chanson,
C'est pour qu'leur souv'nir reste :
Gloire à tous ceux qui luttent à l'Est.
Marchaient dans les rues.
La neige tombait sur la ville,
Tu ne t'en souviens plus.
Ils venaient pour protester,
Ils criaient des slogans,
Des ouvriers, des étudiants.
Soudain, ils ont vu les chars
Qui stationnaient sur les boul'vards,
Ils ont vu les soldats armés.
Ils ont chanté la Marseillaise,
Un morceau d'histoire française,
Tout d'un coup les a fait rêver.
Héléna avait quinze ans,
Elle a pris un fusil.
Isvan n'avait que douze ans
Et il est mort aussi.
Si je chante cette chanson,
C'est pour qu'leur souv'nir reste :
Gloire aux enfants de Budapest.
Soudain, ils ont vu les chars
Qui avançaient sur les boul'vards,
Ils ont vu les soldats tirer.
Ils ont chanté la Marseillaise,
Un morceau d'histoire française,
Dans leur coeur cognait Liberté.
Ils étaient plus de cent mille,
Couraient dans les rues.
Le sang coulait sur la ville,
Tu ne t'en souviens plus.
Aux frontières de la Hongrie,
Ils n'ont pas réagi.
La suite c'est Prague et Varsovie.
Là-bas, il y a les chars
Qui stationnent près des boulevards,
Il y a les miliciens armés.
Dans les prisons polonaises,
On se tourne vers la terre française
En criant : Solidarité !
Si je chante cette chanson,
C'est pour qu'leur souv'nir reste :
Gloire à tous ceux qui luttent à l'Est.