FAITS DIVERS
Anno:
Gruppo: JEAN PAX MEFRET
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Un rayon de soleil
Se levait sur la ville.
Les yeux pleins de sommeil,
Il avançait tranquille.
Des loubards maraudaient
A l'entrée de la cité,
Un camion s'approchait,
C'était celui du laitier.
Les deux mains dans les poches,
Il avançait toujours.
Le loubard le plus moche
Le guettait d'un oeil lourd.
Je te parie cinq sacs,
Qu'il a les foies, le bourgeois.
Je te paries dix sacs,
Il ne passera pas.
C'était le dernier jour de juillet,
A la veille des congés payés.
Dans la rue marchait un ouvrier,
Fatigué, mais le coeur léger.
Il était déjà presque en vacances
Quand il a croisé la violence.
Excités par ses cris de souffrance,
Ca cognait en cadence !
Il y a du sang qui coule
A l'entrée de la cité.
Il y a des corps qui roulent
Sur celui qu'ils ont tué.
Plusieurs détonations
Se perdent dans la ville
Là-haut sur un balcon,
Un garçon immobile.
Une arme dans les mains
Et des larmes dans les yeux.
Dans le froid, le matin,
Vient de venger son vieux.
C'était le dernier jour de juillet,
A la veille des congés payés.
Dans la rue marchait un ouvrier,
Fatigué, mais le coeur léger.
Il était déjà presque en vacances
Quand il a croisé la violence...
Se levait sur la ville.
Les yeux pleins de sommeil,
Il avançait tranquille.
Des loubards maraudaient
A l'entrée de la cité,
Un camion s'approchait,
C'était celui du laitier.
Les deux mains dans les poches,
Il avançait toujours.
Le loubard le plus moche
Le guettait d'un oeil lourd.
Je te parie cinq sacs,
Qu'il a les foies, le bourgeois.
Je te paries dix sacs,
Il ne passera pas.
C'était le dernier jour de juillet,
A la veille des congés payés.
Dans la rue marchait un ouvrier,
Fatigué, mais le coeur léger.
Il était déjà presque en vacances
Quand il a croisé la violence.
Excités par ses cris de souffrance,
Ca cognait en cadence !
Il y a du sang qui coule
A l'entrée de la cité.
Il y a des corps qui roulent
Sur celui qu'ils ont tué.
Plusieurs détonations
Se perdent dans la ville
Là-haut sur un balcon,
Un garçon immobile.
Une arme dans les mains
Et des larmes dans les yeux.
Dans le froid, le matin,
Vient de venger son vieux.
C'était le dernier jour de juillet,
A la veille des congés payés.
Dans la rue marchait un ouvrier,
Fatigué, mais le coeur léger.
Il était déjà presque en vacances
Quand il a croisé la violence...