LITTORAL CELTE
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1- Le cliquetis des chaînes, sur la lande étoilée, la silhouette d’ébène, d’un revenant masqué
La lune pâle ronde, glace d’effroi les coeurs, en son reflet sur l’onde, vient se mirer la peur
Etonnante lueur, déforme au loin les ombres, la magie les effleure, irréelles et sombres, irréelles et sombres!
2 - Landes infinies de pierres, nues au vent de la mer, sous la pâle lumière, la terre de chez nous
Pèse comme un secret, très triste mais très doux, quand la lune se voile, des lambeaux déchirés
Qui s’effilochent au vent, d’une histoire oubliée, je sais le mythe est là, ne le réveille pas, ne le réveille pas!
3 - Landes de notre histoire, où l’herbe folle plie, sous le vent de la mer, je vous ai vues en rêve
En rêve dans le noir, terre de mon histoire, mon chant tu sais pour toi, est comme un peu amer
Mon chant pour toi parfois, un peu comme une prière, me revient et se perd, se perd dans le noir.
Garde-moi en tes grèves, littoral celte, un peu de rêve......
La lune pâle ronde, glace d’effroi les coeurs, en son reflet sur l’onde, vient se mirer la peur
Etonnante lueur, déforme au loin les ombres, la magie les effleure, irréelles et sombres, irréelles et sombres!
2 - Landes infinies de pierres, nues au vent de la mer, sous la pâle lumière, la terre de chez nous
Pèse comme un secret, très triste mais très doux, quand la lune se voile, des lambeaux déchirés
Qui s’effilochent au vent, d’une histoire oubliée, je sais le mythe est là, ne le réveille pas, ne le réveille pas!
3 - Landes de notre histoire, où l’herbe folle plie, sous le vent de la mer, je vous ai vues en rêve
En rêve dans le noir, terre de mon histoire, mon chant tu sais pour toi, est comme un peu amer
Mon chant pour toi parfois, un peu comme une prière, me revient et se perd, se perd dans le noir.
Garde-moi en tes grèves, littoral celte, un peu de rêve......